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Salope soumise jouit au Tel Rose BDSM


Salope soumise jouit au Tel Rose BDSM
Soumise et souillée par son Maître

Quand mon ex compagnon a repris contact avec moi par le biais d'un texto, j'ai été fort surprise. En couple avec André depuis 1 an, j'avais tenté d'effacer de ma mémoire cette période spéciale de ma vie.

Mon prénom c'est Angela. J'ai 46 ans et je suis une femme discrète voir timide. Coquette et féminine j'adore être toujours à la pointe de la mode. Cependant même si je suis à l'aise avec mon corps (petite de taille avec des formes menues, joli galbe de jambes et cheveux longs châtains foncés) il m'arrive encore de rougir qu'un homme me drague ou tente de flirter avec moi. Je pense d'ailleurs que c'est ce petit côté candide et puritaine qui me rend intéressante aux yeux de certains prédateurs.

Avec André ce fut une superbe rencontre romantique. Un homme élégant et distingué qui me donna de suite envie de me poser. Attentionné à mon égard, il a su trouver le chemin de mon coeur en me séduisant comme un parfait gentleman. Nous avons emménagé ensemble très peu de temps après puisque nous étions seuls (nos enfants ne vivant plus avec nous). Nous vivons une relation parfaite. Niveau sexe c'est très doux et tendre entre nous et jusqu'à là j'étais satisfaite de nos gros câlins.

André sait que j'ai eu pas mal d'amants avant de me décider à partager sa vie. Ce qu'il ignore et dont je n'ai jamais osé parler c'est de mon attirance pour la soumission. Pendant de longs mois j'ai entretenu une relation avec un homme dominateur Maître G pour qui j'ai été l’esclave sexuelle. Je ne vivais que pour lui donner entière satisfaction. J'ai connu des moments d'extase intense quand G me soumettait totalement et aussi mes plus gros orgasmes. Avec lui j'avais tout connu : privations, punitions, humiliations, insultes, crachats, sodomies et j'en passe...

C'est sans doute pour cela que j'ai ressentis de drôles de piqûres dans mon ventre en lisant son SMS : "Contacte-moi stp”.

Que me voulait il après plus d'un an de silence ?

Depuis 12 mois j'étais devenue un vrai petit ange même si parfois je sentais tapis au fond de moi des fantasmes crus mêlés de souvenirs vicieux et humiliants qui ne demandaient qu'à ressurgir.

J'ai accepté son rendez vous. Heureusement, mon ex n'habite pas à Yverdon comme nous. Ni vu ni connu. Maître Gérard m'attendait au fond de la salle. Mon coeur s'est mis à cogner fort en le voyant dans son costume sombre et puissamment viril comme à son habitude. J'étais tétanisée par son regard cynique dès les premières minutes assise en face de lui. Il ne laissa paraître aucune joie à me revoir, m'expliquant qu'il avait mis de côté pour moi des effets personnels que j'avais oublié en partant.

Son logement étant situé à cinq minutes du café je l'accompagne sans prendre garde ni me méfier.

Dans le corridor de chez lui G me dit qu'il a un cadeau de Noël très spécial à m'offrir mais qu'avant de me le remettre il doit me bander les yeux. Une petite voix intérieure me souffle qu'il est encore temps pour moi de faire demi tour, de rentrer dans mon nid douillet mais les mains fermes de G en train d'attacher le foulard me donnent immédiatement des frissons d'excitation mêlée de curiosité malsaine.

En pénétrant dans son salon des milliers d'images hard assaillent mon esprit. Je me moque de récupérer mes affaires, je l'ai suivi parce que j'ai toujours adoré les sensations fortes. Avec G il n'y avait aucune limite. Tout est indécent. Au milieu du salon, malgré mes yeux bandés, j'entends distinctement deux autres voix masculines et je comprends en frissonnant que nous ne sommes pas seuls : le piège se referme...

Je comprends maintenant le sens du mot "spécial". G connait mon fantasme le plus hard : être soumise devant des inconnus, les yeux bandés livrée à leurs yeux concupiscents. Ne s'embarrassant pas de préambules G soulève ma jupe au-dessus de mon nombril et me jette en travers de ses jambes baissant au passage ma culotte de coton blanc.

C'est en recevant une forte gifle sur mes fesses rebondies que je comprends ce qui m'a poussé jusqu'ici. L'impensable, l'interdit, être l'objet sexuel de Maitre Gérard était ce qui m'excite autant. Devenir un joujou entre ses mains perverses. D'avance je sais que je vais morfler... Des picotements brûlants glissent sur mon corps. De tous les hommes que j'ai connu Maître Gérard est le seul à savoir que sous mes allures timides je peux être en y étant contrainte un véritable trou à bites avide de plaisirs débauchés.

La forte fessée qu'il m'administra fit ruisseler mon vagin si fort que Maître Gérard m'en fit la remarque en m'insultant de pute. Sans compter qu'il en profita pour enfoncer dans mes deux orifices trois de ses gros doigts pour me fouiller. Mon corps tremblait de plaisir mais je fut interdite de jouir et pour m'en empêcher G me pinça les lèvres du minou si fort qu'un cri rauque et plaintif sortit de ma bouche.

Pour les hommes présents le spectacle était terriblement hard.

Les fesses cuisantes et l'intérieur des cuisses gluantes de mouille, G m'aida à me remettre sur pied avant de me pousser par terre en me disant d'un ton ferme : "à genoux bouche à sperme" ! !

Toujours aveuglée, il saisit mes poignets pour les attacher derrière le dos, et me pince les mamelons si forts que des larmes me viennent aux yeux. Pas le temps de me plaindre que sa main saisit ma nuque pour me coller le visage au sol. Il crache sur moi et m'intime l'ordre d'avaler tout. Je reconnais l'odeur de sa bite lorsqu'elle vient claquer mes lèvres. J'ouvre grand la bouche mais pas assez pour le Maître puisqu'en plus de sa queue épaisse il rajoute ses doigts.

Sa queue ravage ma gorge, force au plus loin, ne me laissant aucun répit pour respirer. J'avale son sperme au passage, ma bouche est remplie de liquide épais et âcre. Les autres doivent me regarder et se branler et cela me rend dingue. Mon pouls s'accélère et mon corps s'embrase quand une bite inconnue s'introduit à nouveau dans ma bouche. G en rajoute : "défonces lui la gueule à cette salope"...

Une joie sourde envahit mes membres douloureux. Mes tétons me brûlent car G me les mord toujours trop fort. Je dois avoir des marques et des hématomes et pourtant je continue à me rabaisser en acceptant tout de leurs parts. Leurs mains me pelotent et me tripotent, leurs doigts fouillent ma chatte et mon anus assez violemment.

Je me croyais guérie de ces envies mais il n'en ait rien. Bien pire encore, je n'ai pas été aussi excitée depuis longtemps et je prends un pied total.

Je pense à André qui doit être rentré à la maison et qui sagement m'attends en préparant l'apéritif. Comment réagirait il lui si pudique, en me voyant me faire baiser la bouche par des étrangers sous le contrôle de G qui me traite comme un vide-couilles.

G m'attrape brutalement par les hanches et me sodomise en me griffant le dos. Deux queues me tabassent le visage, viennent découiller dans ma bouche pendant que G me laboure le cul. Ma rondelle se dilate un peu plus à chaque coup de pieu. J’ai mal mais c'est bon !

Les autres ne me pénètrerons pas car G garde toujours les meilleurs morceaux pour lui seul. Ils termineront par se branler en ronde autour de moi en éjaculant sur ma figure et mes seins. Avant de me quitter, G me souffle à l'oreille un "Joyeux Noël ma pute"…



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